Is this as good as The La’s or can i eat some Little Rabbits with my ears ? Cruel dilemne. Single imparable, moins de 3 minutes, vivons pressés, vivons serrés.
Mais bon dieu, comment peux-t-on sortir pareil morceau sans même faire la une de Libération ? Faut attendre quoi, que les Dancing Years soient invités par le pape, que le grandiose Neon Lights ici présenté se retrouve au générique du Mentalist ? Y’a des claques qui se perdent, et y’en a à prendre à l’écoute de ce morceau. J’y entends tant de référence, allez savoir si y’aurait pas une pointe de Beirut, à moins que ce ne soit une once d’Andrew Bird, ou beaucoup plus évidemment la Jeff Buckley’s touch dans les falsetto que je compte bien lâcher du gros hashtag. C’est subtil, intelligent, enlevé, plein de détails par-ci et de déliés par là, bref de quoi déchainer tous les passionnés que nous sommes. Bonne écoute à tous.
Le single "Number One" de 2016 résonne depuis quelques temps, des collines de Hollywood jusqu’aux coteaux champenois qui bordent ma contrée. Mais l’avez-vous entendu passer ? Cherry Glazerr ne manque pourtant pas d’air. Et pour preuve, vous allez rester planter un petit moment devant la jeune et insolente Clementine Creevy, front-women de ce groupe made in L.A. . Du féminisme par derrière, du poil par dessous, du charme sans provoc’, je crois que je suis pas loin de militer les seins à l’air. Et ça aussi ça pourrait faire du bruit. Ok ça sera certainement pas aussi sexy que cette putain de chanson ; car y’a tout dans ce single, une intro et un gimmick entêtant, une Amérique nerveuse et aguicheuse, de la déjante et des guitares patriotes, vindieu de vindieu que ça chante bien, on fera pas mieux cette année, différent sûrement, mais Told You’d Be With The Guys restera LE morceau de 2016.